"Révolution bleue. La petite princesse"

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"Au fond il n'existe qu'un seul et unique problème sur terre.

Comment redonner à l'humanité un sens spirituel,

comment susciter une inquiétude de l'esprit.

Il est nécessaire que l'humanité soit irriguée par le haut

et que descende sur elle quelque chose comme un chant grégorien.

On ne peut plus continuer à vivre en ne s'occupant que de frigidaires,

de politique, de bilans budgétaires et de mots croisés."

 

Antoine de Saint-Exupéry

 

"L'humanité peut-elle s'affranchir de son cadre terrestre et se libérer de son lien avec la nature ? Peut-être...

En allant conquérir la galaxie, en se transformant en intelligence artificielle...Mais est-ce ce que nous voulons ? Pourquoi faire compliqué alors que la solution est dans la préservation de notre fabuleux berceau/vaisseau ?

Produit le plus sophistiqué de la chaîne de la vie initiée il y a 1,3 milliards d'années (et certainement pas un aboutissement), l'être humain a inventé des abstractions qui l'ont intellectuellement coupé des autres espèces, et conçu des artefacts qui détruisent son environnement naturel. L'être humain se prend pour Dieu et pense pouvoir se comporter dans le mépris des règles de fonctionnement de la biosphère, et agit sous l'emprise d'un instinct suicidaire.

Sommes-nous des fourmis ? N'avons-nous aucune conscience individuelle ? N'avons-nous aucun respect de l'intelligence, de la beauté du miracle de la Vie ? Qui sommes-nous pour condamner le projet de la Vie sur Terre ? Quels sont cet orgueil ultime, cette stupidité sans nom, cette barbarie infâme, cet égoïsme fatal qui nous enlèvent tout discernement ?

Ne sommes-nous que des animaux dénués de raison ?

(...) Je veux être très clair. Moi je fais partie du camp de la Vie !"


 Olivier d'Agay, petit-neveu d'Antoine de Saint Exupéry,

directeur de la Succession Saint Exupéry - d'Agay,

préfacier du roman "La petite princesse" de J.P. Goux

 

 


En savoir plus sur le livre

 

Lezione in canzone (6)

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Com'è diverso il mondo visto da qui
Sopra un filo immaginario nel silenzio che c'è
Attraverserò l'immenso che ho davanti a me
Ali nel vento per volare non ho
Sfiderò nell'aria la forza della mia gravità
Muoverò le braccia aperte nell'infinità del blu
 

Com'è lontano il mondo visto da quassù
Dimenticando il grande vuoto intorno a me
Senza mai voltarmi indietro me ne andrò da qui
La strada del mio cuore io ritroverò
In equilibrio fino in fondo arriverò
Dove si respira liberi
 

E' la vertigine più grande che c'è
Stare qui sospeso a sentire questa vita com'è
Giocoliere di me stesso io volteggerò nel blu
 

Com'è vicino il cielo visto da quassù
Dimenticando il grande vuoto dentro me
Senza mai voltarmi indietro me ne andrò da qui
 

La strada del mio cuore io ritroverò
In equilibrio fino in fondo arriverò
Da solo dentro il blu
Da solo senza mai cadere giù
Mai più
 

Senza mai voltarmi indietro me ne andrò da qui
Vedrò sul filo della provvisorietà
L'equilibrista non si chiede mai cos'è
La stabilità vive l'illusione e la realtà
Com'è diverso il mondo visto da qui

 

(c) Sony/ATV Music LLC Publishing

Paroles : Claudio Guidetti, Giuseppe Rinaldi et Eros Ramazotti qui l'interprète...

comme je ne supporte pas son timbre de voix,

je préfère l'écouter ici par Aldo Polisena !

 

 

Lezione in canzone (5)

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Felicità
È tenersi per mano, andare lontano, la felicità
È il tuo sguardo innocente in mezzo alla gente, la felicità
È restare vicini come bambini la felicità, felicità

Felicità
È un cuscino di piume, l′acqua del fiume che passa e che va
È la pioggia che scende dietro le tende, la felicità
È abbassare la luce per fare pace, la felicità, felicità

Felicità
È un bicchiere di vino con un panino, la felicità
È lasciarti un biglietto dentro al cassetto, la felicità
È cantare a due voci quanto mi piaci, la felicità, felicità

Senti nell'aria c′è già
La nostra canzone d'amore che va
Come un pensiero che sa
Di felicità

Senti nell'aria c′è già
Un raggio di sole più caldo che va
Come un sorriso che sa
Di felicità

Felicità
È una sera a sorpresa, la luna accesa e la radio che va
È un biglietto d′auguri pieno di cuori, la felicità
È una telefonata non aspettata, la felicità, felicità

Felicità
È una spiaggia di notte, l'onda che parte, la felicità
È una mano sul cuore piena d′amore, la felicità
È aspettare l'aurora per farlo ancora, la felicità, felicità

Senti nell′aria c'è già
La nostra canzone d′amore che va
Come un pensiero che sa
Di felicità

Senti nell'aria c'è già
Un raggio di sole più caldo che va
Come un sorriso che sa
Di felicità

Senti nell′aria c′è già
La nostra canzone d'amore che va
Come un pensiero che sa
Di felicità

Senti nell′aria c'è già
Un raggio di sole più caldo che va
Come un sorriso che sa
Di felicità
 
 
 
Source : Musixmatch
Paroliers : Dario Farina / Cristiano Minellono / Gino De Stefani
Paroles de Felicità © Universal Music Italia Srl., Maialino Ed. Musicali Srl.
 
 

Je l'aime à mourir

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Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'a qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir

Elle a gommé les chiffres
Des horloges du quartier
Elle a fait de ma vie
Des cocottes en papier
Des éclats de rire
Elle a bâti des ponts
Entre nous et le ciel
Et nous les traversons
À chaque fois qu'elle
Ne veut pas dormir
Ne veut pas dormir
Je l'aime à mourir

Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie
Et l'amour aussi

Elle vit de son mieux
Son rêve d'opaline
Elle danse au milieu
Des forêts qu'elle dessine
Je l'aime à mourir
Elle porte des rubans
Qu'elle laisse s'envoler
Elle me chante souvent
Que j'ai tort d'essayer
De les retenir
De les retenir
Je l'aime à mourir

Pour monter dans sa grotte
Cachée sous les toits
Je dois clouer des notes
À mes sabots de bois
Je l'aime à mourir
Je dois juste m'asseoir
Je ne dois pas parler
Je ne dois rien vouloir
Je dois juste essayer
De lui appartenir
De lui appartenir
Je l'aime à mourir

Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi

Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'aura qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir

 

Paroles : Francis CABREL

Chant : Amir

 

Zins et Zôtres

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La relation aux autres n’est pas toujours facile, loin de là. Nous pouvons tous le constater presque chaque jour.

D’un côté, chercher à dire sans blesser et blesser sans le souhaiter, dire sans être trop injuste et l’être quand même, vouloir exprimer ce que nous ressentons et ne pas trouver la bonne manière de le faire…

Le rapport aux autres

D’un autre côté, avoir la sensation de ne pas être compris, être blessé, ne pas comprendre l’autre, en vouloir à soi et à l’autre de ne pas être compris …

Bref, tout cela est bien compliqué !

 

A moins de vivre seul sur une île déserte, notre rapport aux autres, les échanges avec celles et ceux qui nous entourent, que ce soit en famille, au travail ou dans la rue, mérite une attention quotidienne.  

Je peux comprendre les personnes qui souffrent d’anxiété sociale car c’est une utopie de penser que l’on peut chaque soir se coucher en se disant : tout s’est bien passé avec chaque personne que j’ai côtoyé aujourd’hui. Je n’ai pas été en colère, je n’ai pas été énervé,  je n’ai pas eu envie de rentrer six pieds sous terre, j’ai su dire ce que je ressentais et je me suis sentie pleinement entendue.  Il n’y a pas eu de soucis aujourd’hui avec celles et ceux que j’ai rencontrés.  

L’appréhension de la pression sociale, la crainte du jugement des autres, de la critique sociale, l’impact du regard des autres, peuvent nous empêcher d’avancer de façon heureuse dans notre vie.

 

Nous ne pouvons pas vraiment agir sur ce que vit et ressent l’autre.

Mais nous pouvons agir sur nous.

Savoir se libérer du regard des autres, apprendre que l’opinion des autres est un point de vue mais pas obligatoirement une vérité, cultiver la confiance et l’estime de soi, veiller à son bien être émotionnel, s’accepter avec joie tel que l’on est, tout cela contribue à notre paix intérieure.

Plus nous sommes en accord avec nous-mêmes, mieux nous nous connaissons, plus notre rapport aux autres sera simple et paisible.

Voilà pourquoi il est important de prendre soin de soi, d’apprendre à s’accepter, à vivre sans peur du regard de l’autre, à savoir ignorer les critiques inutiles. Voilà pourquoi il est important d’apprendre à s’écouter, à écouter notre voix, notre voie intérieure, apprendre à avancer sans se préoccuper des peurs des autres.

 

 
 

 Infolettre des Editions pour penser

 

Pour aborder ce thème avec les enfants, j'aime utiliser le savoureux petit livre édité par la même maison, "Les Zins et les Zôtres", texte de Virginie Monfroy, illustrations de Thomas Paton.

 

"Dans le monde au début, c’était facile : Il y avait les Zins.
Et puis, un jour les Zôtres apparurent.
On ne savait même pas d’où ils venaient !
Et comme les Zins habitaient d’un côté, les Zôtres s’installèrent de l’autre côté.
Or un jour, quelqu’un se présenta dans le pays. On fut bien embarrassé.
Ce n’était ni un Zin, ni un Zôtre."

 

Nous sommes tous le Zôtre d'un Zin qui nous trouve beaucoup trop Zôtre et parfois complètement Zinzin ! En cliquant sur l'image, vous pourrez lire le début de l'histoire (en bas de page) !

 

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