Une nouveauté de La Lutinière !

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J'ai une curiosité naturelle, saine et éclectique. A travers la préparation de mes cours, mais aussi grâce à mes élèves, eux-mêmes curieux de toutes sortes de sujets vers lesquels je n'irais pas spontanément, je fais une foule de découvertes. Plutôt que de les garder pour moi, j'ai décidé d'ouvrir une nouvelle rubrique dans ma Lutinière, qui s'intitulera "Le saviez-vous ?". Dans chaque publication de cette rubrique, je partagerai avec vous une de mes découvertes, un peu comme si je vous emmenais en visite dans mon cabinet de curiosités.

 

Vous êtes-prêts ? Voici la première ! Cliquez sur l'image pour la découvrir. C'est une création de Frédéric Clément, auteur-illustrateur que j'aime beaucoup, pour la couverture de son album "Auriez-vous ça ?" (Editions Albin Michel, 2015). L'image vous ouvrira la porte de ma première curiosité. Un peu comme un calendrier de l'Avent, mais illimité !

 

 

 

Découvrir le livre

Visiter le blog de Frédéric Clément

 

 

Cycle

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     “Personne ne sait encore si tout ne vit que pour mourir ou ne meurt que pour renaître.”   Marguerite YOURCENAR    


"Déterre"

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Tape du pied
Vas-y, vas-y, tape du pied
Y a que comme ça que tu peux remonter
Tape de pied
Vas-y, vas-y, tape du pied
Ça fait trop longtemps que tu te fais discret
Tape du pied
Vas-y, vas-y, tape du pied
N'aie pas peur il faudra les réveiller
Fais du bruit, vas-y, vas-y, fais du bruit
Tu vas voir que c'est là que tu te sens en vie
Fais du bruit, vas-y, vas-y, fais du bruit
Fais trembler les murs et réveille les nuits
Fais du bruit, vas-y, vas-y, fais du bruit
Relâche, crache tout ce qui te pourrit
Ce qu'il y a sous la terre, m'effraie, autant que toi
Des catacombes, les ombres aux murs
De nos cavernes d'Ali Baba
Secret taillé, dans les rochers
Très enfoui, très englouti
Prends la pelle comme on prend le large
Entends l'appel
Déterre
Déterre-les
Déterre-toi
Comme tu veux, vas-y, vas-y, comme tu veux
Laisse monter le trop plein à la lisière des yeux
Comme tu veux, vas-y, vas-y, comme tu veux
Fais jaillir le ras-le-bol, à ras-bord qui prend feu
Comme tu veux, vas-y, vas-y, comme tu veux
Sens-tu le sol se fendre en deux?
Abandonne, vas-y, vas-y, abandonne
Pour qu à nouveau chaque seconde t'étonne
Abandonne, vas-y, vas-y, abandonne
Tu pèses plus rien toi qui pesais des tonnes
Abandonne, vas-y, vas-y, abandonne
Tape des pieds pour que la terre
Sous tes pieds résonne
Résonne
Résonne
 
 
Paroles : Buridane
Interprète : Zaz
 
 

"A quoi ça sert l'amour ?"

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Comme je le disais à mon fils en la réécoutant : "la chanson est ancienne mais les paroles sont toujours d'actualité !". Et quand on connaît la vie d'Edith Piaf, on sait, on sent,  combien ce qu'elle chante est pour elle une réalité...

J'ai trouvé que c'était un choix tout indiqué pour le 9 août, jour de la Saint Amour... et anniversaire de ma Lutinière. Créé en 2009, le site fête ses 14 ans aujourd'hui !

 

 

 

La tendresse

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Je ne connaissais ni l'instrument, ni l'interprète, mais le texte, oui. La chanson d'origine est de Noël Roux et Hubert Giraud, interprétée par Marie Laforêt en 1964, reprise par beaucoup d'autres, comme Bourvil. Je préfère cette interprétation-ci !


 
On peut vivre sans richesses
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Être inconnu dans l'Histoire
Et s'en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question
Non, non, non, non
Il n'en est pas question
Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment
Le travail est nécessaire
Mais s'il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien, on s'y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous paraît long
Long, long, long, long
Le temps vous paraît long
Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l'amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la tendresse
L'amour ne serait rien
Non, non, non, non
L'amour ne serait rien
Quand la vie impitoyable
Vous tombe dessus
Qu'on n'est plus qu'un pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la tendresse
D'un cœur qui nous soutient
Non, non, non, non
On n'irait pas plus loin
Un enfant nous embrasse
Parce qu'on le rend heureux
Tous nos chagrins s'effacent
On a les larmes aux yeux
Mon dieu, mon dieu, mon dieu
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites-donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos cœurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l'amour
Règne l'amour
Jusqu'à la fin des jours
 
 
 
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