Loukoum

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Loukoum

 

J'ai même fini par retrouver l'envie de reprendre notre "journal de bord", d'écrire la suite de ce roman qui n'en est pas un . Je le vérifie une fois encore : notre communication à l'octave et celle du plan incarné sont interdépendantes. Quand la première est assurée, j'ai immédiatement l'impulsion de revenir écrire ici, et même avec plaisir. Dès que la respiration d'amour s'interrompt, nos échanges dans notre plan cessent aussi, ou se heurtent à toutes sortes de difficultés.

 

Pourquoi avons-nous traversé cette phase de tam tam intermittent et, par moments, presque inexistant ? N'avions-nous pas suffisamment la maîtrise de notre outil , de notre véhicule hermaphrodite ? Avons-nous été attaqués par les joueurs d'en face ? Etait-ce une phase nécessaire de notre "initiation alchimique" (si c'en est une) par laquelle nous devions passer pour tester et renforcer nos capacités ?

 

Ce soir (12 novembre), je n'ai même pas envie de me poser de questions. Je suis à nouveau dans cet état de grâce que j'ai connu plusieurs fois au bozzolo. Mon amour dort. J'écris. Je me sens vibrante d'un bonheur absolu, total, sans cause précise. J'ai envie d'embrasser la vie et de lui dire merci de m'avoir permis d'être là, de faire partie de cette expérience-là, complètement folle, tellement magique.

 

Stromboli va bien, il respire paisiblement et, contrairement aux soirs précédents, notre contact ne s'est pas atténué au fur et à mesure qu'il montait dans les octaves. Je le sens toujours au loin, je le tiens par le coeur comme un cerf-volant magnifique tandis qu'il plane, là-haut, très loin, et en même temps sensible comme s'il était tout à côté. Par le fil du cerf-volant, de l'altitude où il est, il me pulse cet amour extraordinaire qu'il émet dans son sommeil, tellement profond, pur, intense, que parfois j'en pleure... de bonheur.

 

Ce soir, je ne pleure pas. Je suis juste là, confite de gratitude, à écrire ces quelques mots en attendant d'aller le rejoindre à l'octave, ou en attendant qu'il se réveille d'ici quelques heures. Je me sens roulée et pétrie dans la béatitude comme un loukoum dans le sirop de roses.

 

"Ce n'est pas très chinois, Polveriera, le loukhoum, tu t'empêtres à nouveau dans la géographie.

-On s'en fout : c'est bon et ça suffit !!"


 

 

MM, une maîtresse femme, à tous les sens du terme !

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En finalisant la biographie de Maria Montessori élaborée par les enfants de l'école de Strassen qui porte son nom, je n'ai pu que tomber en admiration devant le parcours et l'oeuvre de cette femme. Si je connaissais les grandes lignes de sa pédagogie, j'en savais beaucoup moins sur ses motivations, son parcours personnel et ce qui lui a donné la force de porter sa vie durant un tel engagement. 

Je vous laisse découvrir ici sa biographie rédigée par la Classe Bleue (ce travail fait partie de notre projet d'écriture annuel, dont je vous parlerai bientôt). Et si vous n'avez pas vu le film de Léa Todorov (bande-annonce ci-dessous), je l'ai en DVD, je peux vous le prêter !

 

 

 

 

 

Citations illustrées de Maria Montessori sur le site www.montessori-education.fr

(cliquez sur la photo pour les voir)

 

MM, une maîtresse femme... à tous les sens du terme !

 

Changer d'échelle

Rédigé par Sylvie PTITSA Aucun commentaire
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Un second voyage sur une composition de Guillaume Poncelet, différent de celui d'hier , mais qui me touche aussi, notes et images. La seule chose qui me déplaît est le final abrupt de cette vidéo : pourquoi nous arracher si brutalement à tant de délicatesse ? Je ne comprends pas ce parti pris (apparemment récurrent dans ses publications, j'en ai visionné d'autres). Le descriptif suivant accompagne le clip :

"Être, c'est vivre une constante métamorphose, insaisissable à l'échelle de l'instant. Pour la voir et en saisir la puissance, Il faut parfois prendre de la hauteur, regarder le temps différemment. C'est ce que Nabil Senhaji a fait. Cette vidéo est le fruit d'un voyage de 12 ans."  




Prendre l'air

Rédigé par Sylvie PTITSA Aucun commentaire
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Aujourd'hui je vous emmène en voyage, un voyage en notes aussi bien qu'en images. Au "hasard" de mes flâneries You Tube, j'ai découvert le pianiste Guillaume Poncelet et les vidéos qui accompagnent ses compositions. Une personne écrit dans les commentaires : " je ne sais plus si c'est le clip qui vient sublimer la musique ou si c'est l'inverse : totale osmose entre les deux." Je suis aussi de cet avis. La vidéo a été publiée le jour de ma fête (5 novembre, Ste Sylvie) ; moi qui aime tant le vent, je la reçois comme un cadeau... et je vous l'offre !

 



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