Oeuvre de patience... travail en cours
Fragment d'une illustration à venir pour mon dernier texte : "Seize millions d'étoiles"
Fragment d'une illustration à venir pour mon dernier texte : "Seize millions d'étoiles"
À l’origine, il s’agissait d’un signal sonore produit par le battement d’un tambour (battre la chamade) ou par le son d’une trompette (sonner la chamade) afin de prévenir la partie adverse qu’une trêve des hostilités est demandée dans l’intention d’entrer en négociations. Le signal sonore étant la plupart du temps couvert par le bruit des affrontements, il fut doublé par un signal visuel : le tissu de couleur blanche ou le drapeau blanc. Le mot provient d’une racine indo-européenne *k(e)la- (« appeler »), par le piémontais ciamada (« appel ») dérivé du verbe ciamà (« appeller »), venant du latin clamare (« crier, réclamer ») d'où viennent également chiamare (« appeler, nommer ») en italien et clamer (« dire avec force ») en français . La même racine indo-européenne a aussi donné call (« appel ») en anglais, klikat’ (« appel ») en russe et Klage (« plainte ») en allemand. Aujourd'hui, le mot s'emploie surtout dans l'expression "avoir le coeur qui bat la chamade" : très rapidement et/ou très fort. Source : Wikipédia |
Voir d'autres "Le saviez-vous ?" de La Lutinière
J'bats la chamade
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Je ne doute plus,
Chaque fois qu’vais t’entendre ou te voir J’bats la chamade,
Et depuis mon lit L’ivresse d’être nous
Cet amour éperdu, Il sécrète son or J’bats la chamade, Chaque fois qu’vais t’entendre ou te voir J’bats la chamade, C’est ça, j’bats la chamade Tu as réveillé tous mes chants, Et j’ai le cœur comme un tam tam chamade, |
L'an dernier, pour l'atelier d'écriture de février, nous avions puisé notre inspiration dans une image. Un des derniers jeux d'écriture que j'ai proposé au groupe consiste à partir, cette fois, d'une chanson pour la remanier. Ensemble, nous avons ainsi transformé "Le mal aimé" en "La bien-aimée". Puis, chaque personne devait choisir une autre chanson et la réécrire individuellement. Pour ma part, j'ai choisi "Je suis malade", de Serge Lama, que j'avais réécoutée récemment dans deux interprétations inattendues. Et j'ai eu envie de transformer ce texte plein de douleur en quelque chose de radieux, d'enivrant, de joyeux. Assez d'amours torturées, souffrantes, dramatiques et psychodramatiques. On n'est pas obligé d'être amoureux en mode martyre ! Alors, dans mon texte, "Je suis malade " est devenu... "J'bats la chamade" !
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