Plus loin

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L’esprit a beau faire plus de chemin que le coeur, il ne va jamais si loin.
 
Proverbe chinois 
 
 

 
 

Dans l'univers de Chen Jiang Hong et du Dragon de feu

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Cette semaine, j'ai découvert un album et, à travers lui, un auteur-illustrateur : "Dragon de feu", de Chen Jiang Hong. Ce qui m'a plu dans ce livre, outre ses images magnifiques, c'est que pour une fois, contrairement au rôle que lui attribue l'imaginaire occidental, le dragon n'apparaît pas un animal cruel, cupide et malfaisant, mais au contraire comme un être sensible et bon, qui va jusqu'à risquer sa vie pour venir en aide aux hommes.

Après ma lecture, j'ai eu envie d'en savoir un peu plus sur l'auteur et j'ai trouvé cette vidéo sur le site de l'éditeur (Editions L'école des loisirs).

 

  En savoir plus sur Chen Jiang Hong

En savoir plus sur "Dragon de feu"

 

 

 

Finalement, Chen Jiang Hong ne m'était pas si inconnu... en farfouillant dans ma bibliothèque de travail, j'y ai retrouvé un album de lui dédicacé, cadeau de mon père en 2008 (auf Deutsch, natürlich !) ; entre ses pages se trouvaient aussi 2 petits marque-page en bambou, rapportés de ma mère d'un voyage en Chine encore plus ancien... Y a-t-il vraiment un hasard ?

 

Dans l'univers de Chen Jiang Hong et du Dragon de feu

 

Dans l'univers de Chen Jiang Hong et du Dragon de feu


On me demande souvent...

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"On me demande souvent si je pense  à mes lectrices et mes lecteurs en produisant un texte et si cela influe sur ma façon d'écrire. Absolument pas ! J'écris d'abord pour moi sans penser à la façon dont cela sera accueilli. En fait, je crois que je n'écris pas pour être lue. J'écris, et je suis lue. C'est très différent. Il y est question de sincérité du coeur. Si je remplissais des pages entières en imaginant la façon dont elles allaient être reçues et en réfléchissant à l'optimisation de cet accueil pour être aimée, pour vendre plus, ou toute autre raison fallacieuse, je perdrais en authenticité et en loyauté, à la fois envers moi-même et envers les autres. Je m'y refuse. "


 

Agnès Ledig

"Sous l'écorce"

2023

 

Agnès Ledig - livres et romans de l'auteur aux Editions Flammarion

Etapes

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Celui qui a déplacé la montagne, c’est celui qui a commencé par enlever les petites pierres.   
 
Proverbe chinois
  

Photo : Willy Pierre


"Le saviez-vous ?" - Le sumi-e

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 Paysage, Sesshū, 1481

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Le sumi-e (墨絵?, signifiant « peinture à l’encre ») ou suiboku-ga (水墨画?, « image à l’eau et à l’encre ») est un mouvement de la peinture japonaise originaire de Chine et dominant à l’époque de Muromachi (1333–1573). Ce courant se caractérise par l’usage du lavis à l’encre noire, la prédominance du paysage comme sujet et la proximité avec la philosophie du bouddhisme zen.

Venue de Chine, la technique du lavis apparaît au Japon aux alentours du VIIIe siècle, puis s’impose comme la peinture dominante sous l’influence du zen, des célèbres paysages au lavis de la Chine des Song et de grands maîtres comme Josetsu, Shūbun ou Sesshū. Le peintre de sumi-e modifie la dilution de l’encre, la position du pinceau, la force et la vitesse pour jouer sur l’épaisseur et la netteté des lignes ainsi que les niveaux de gris. Le sumi-e perd de sa vigueur à la fin de l’époque de Muromachi, qui marque le retour de la peinture de genre aux couleurs éclatantes.

  

 

 

Voir comment peindre une branche de cerisier en fleurs en 58 secondes, un exemple de sumi-e en couleur

 

Voir d'autres "Le saviez-vous ?" de La Lutinière

 

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