The answer

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Traduction des paroles en italien

 

Wind from the east is blowing soft over the land

Among the prayers at dawn, and the distant motors grind

We must open up our eyes, get out of bed and hear the call

But still without an answer to it all

 

We must function, and deliver

Flowing helpless down the stream

On a highway, on a train

We’re ruled by laws of the machine

And when our soul starts singing, we’re taught to never heed the call

Convinced there is no answer to it all

 

It’s not easy to awake

And in the mirror, to remove

The armor that has gnawed on all that’s pure and good

Standing naked, open hearted

With our backs against the wall

We still don’t have an answer to it all

 

Where is all the goodness? all the gentle words to speak?

If we listen to our hearts, we lose the game, we’re seen as weak

We are partners, sisters, brothers

No one leads more than the other

Tiny pieces of the answer that we seek

 

Generations ask the questions

For our children, what remains ?

Will their rivers too be poisoned by the greed and pain

The earth has offered blessings, sun will rise and rain will fall

But we still don’t have an answer to it all

 

But we can still choose to believe

We haven’t reached the darkest night

And understand that all we need

Are eyes that dare to see the light

 

Can we bravely gather round

And stand before the metal gate

To release, and to embrace

And clean our hearts of all the hate ?

Our prayers at early dawn will wake compassion from her sleep

For we can only find the answer

When we meet

 

 

Music & Lyrics by Yael Deckelbaum

Translation from Hebrew to English: Noa

Guitar & Vocals : Yael Deckelbaum

Drum & Vocals: Noa

Acoustic guitar: Gil Dor

 

"Le saviez-vous ?" - Les pyrotechnies neuronales de la musique

Rédigé par Sylvie PTITSA 1 commentaire
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La musique crée des feux d'artifice dans notre cerveau !

Découvrez pourquoi dans cette vidéo.

 (Si l'anglais vous gêne, vous pouvez changer la langue des sous-titres

en cliquant sur l'engrenage en bas à droite de la vidéo,

puis en sélectionnant "sous-titres" et la langue de votre choix)

 


 Voir d'autres "Le saviez-vous ?" de La Lutinière


Only love is real

Rédigé par Sylvie PTITSA Aucun commentaire
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All seasons change

Only love remains

When all else fades

Only love remains

People come and go

Nations rise and fall

And after all

It’s all love

You know

Under the pain

Only love sustains

After it rains

Only love remains

Anger can attack you

Jealousy can trap you

But they’ll pass away

And only love will stay

Weathers come and go

Tides go high and low

And after all

It’s all love

You know

All will be healed

Only love is real

All will be healed

Only love is real

Here I am beside you

Only to remind you

That all will be healed

Cause only love is real

 

Music & Lyrics by Yael Deckelbaum

 

Le super-pouvoir de la noix de coco

Rédigé par Sylvie PTITSA Aucun commentaire
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L’homme ne vit pas cent ans et se fait du souci pour mille.

Proverbe chinois

 

Je vous propose ce test d'une minute :

regardez la vidéo ci-dessous et essayez de rester sérieux.

Si oui, vous en avez pour mille ans.

Moi je retourne couper la noix de coco !

 

 

"Tant qu’il y aura des montagnes verdoyantes..."

Rédigé par Sylvie PTITSA 2 commentaires
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Il était une fois, il y a fort longtemps, un vieil homme qui possédait deux montagnes et tirait sa subsistance du bois qu’il coupait pour le vendre aux habitants du village. Son épouse était décédée alors que ses deux fils étaient encore tout petits, aussi les deux enfants durent-ils apprendre à se débrouiller seuls dès leur plus jeune âge. L’aîné des garçons s’appelait Qingshan (littéralement, « montagne verte ») et le cadet, Hongshan (« montagne rouge »). Une fois qu’ils eurent atteint l’adolescence, ils apprirent également à couper du bois. Le vieil homme continua de travailler du matin au soir comme il l’avait fait toute sa vie, jusqu’au jour où il prit conscience qu’il ne lui restait plus très longtemps à vivre. Il légua alors la montagne située à l’est à Qingshan et celle de l’ouest à Hongshan. Malgré les bons rapports entretenus par les deux frères, le vieil homme eut la sagesse de diviser, de son vivant, son héritage en parts égales entre ses fils. Sachant leur avenir désormais assuré, il s’éteignit paisiblement quelques mois plus tard.

La montagne située à l’ouest était recouverte d’une forêt assez dense dont les arbres, une fois coupés, faisaient du bois de chauffage de qualité. Aussi travailleur que son père, Hongshan partait tôt chaque matin couper le bois qu’il vendait aux villageois, et ne rentrait que tard le soir. Bientôt, il commença peu à peu de s’enrichir. Cependant, sur la montagne, les arbres se raréfiaient de jour en jour. Au bout d’environ cinq ans, tous les arbres avaient été abattus et Hongshan se mit alors à planter du maïs sur le versant de la colline. Tout semblait encore aller bien. Mais voilà qu’un jour d’été, une violente averse ravagea la récolte de maïs qui promettait d’être abondante. Acculé, Hongshan n’eut d’autre choix que de se rendre à l’est pour y trouver refuge auprès de son grand frère.

La forêt qui poussait sur la colline orientale était, à l’origine, quelque peu clairsemée, mais Qingshan avait élaboré un plan minutieux pour s’adapter aux conditions locales. Tout d’abord, il abattit certains arbres de piètre qualité qu’il fit sécher au soleil et vendit comme bois de chauffage, avant de les remplacer par de nouveaux plants. Il se mit ensuite à défricher la terre au pied de la montagne où il planta des cultures, et commença également un élevage de bovins et de moutons. Si, les premières années, Qingshan avait du mal à joindre les deux bouts, ses cultures ne subirent presque aucun dommage lorsque l’orage survint, car la végétation de la montagne leur servait de protection idéale. La tempête, une fois passée, laissa ses champs luxuriants, tandis qu’un arc-en-ciel se formait au-dessus de la forêt.

 En arrivant chez Qingshan, Honghsan, aussitôt frappé de stupeur à la vue du spectacle qui s’offrait à ses yeux, lui demanda comment il avait réussi à faire de telles merveilles. Passant le bras autour de l’épaule de son petit frère, Qingshan lui répondit avec affection et enthousiasme : « Si tu te contentes de réclamer à la montagne sans la cultiver, tu finiras tôt ou tard par l’épuiser complètement. Il te faut d’abord labourer la terre avant d’en récolter les fruits, et sans jamais en tarir les ressources originelles ; ce n’est qu’ainsi que les montagnes verdoyantes pourront le rester pour toujours. »

 
 

Lorsque les villageois virent à quel point l’aspect des montagnes des deux frères différait après l’orage, tous s’exclamèrent : « Tant qu’il y aura Qingshan, on ne craindra pas de manquer de bois de chauffage ! » Plus tard, cette expression devint un proverbe utilisé dans un contexte visant à promouvoir la préservation des ressources naturelles, ce qu’elle demeure à ce jour.

Cependant, peu après son apparition, ce proverbe en vint, par extension, à signifier métaphoriquement « tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir », une nouvelle acception dont l’usage devint par la suite encore plus courant que le sens d’origine du proverbe.

Source : "Petites histoires chinoises" | Cairn.info - Sciences humaines et sociales

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